PGFC/REDD+

Projet de Gestion participative des Forêts Classées pour la REDD+ (PGFC/REDD+)

Objectifs du projet :

Contribuer à l’augmentation de la capacité de séquestration de carbone des forêts classées et à la réduction de la pauvreté en milieu rural.

Zone d’intervention :

Le PGFC/REDD+ a intervenu dans douze forêts classées du Burkina Faso, reparties dans les Régions de l’Est, du Centre-Sud, de la Boucle du Mouhoun et du Sud-Ouest.

Période d’exécution :

2014-2020. Date de clôture effective 30 septembre 2020

Financement :

Le projet a été élaboré et mis en œuvre par le gouvernement du Burkina Faso avec l’appui technique et financier de la Banque Africaine de Développement (BAD). Le coût global du projet était de 12, 7 millions de dollars soit 6 milliards de Francs CFA.

Approche et stratégie d’intervention :

L’approche d’intervention du projet est constituée de quatre (04) piliers.
(i) le renforcement des capacités organisationnelles, techniques et en équipements des acteurs (communautés locales et Administration forestière);
(ii) la réhabilitation, la protection et entretien des forêts par les communautés avec l’accompagnement des structures techniques ;
(iii) la créations d’activités génératrices de revenus pour l’amélioration des conditions de vie des communautés locales;
(iv) la mise en place d’outils/mécanisme de durabilité de la gestion des forêts (Comité de gestion des forêts, fonds d’Aménagement Forestier, Paiements pour les Services Environnementaux (PSE), sécurisation des investissements, partenariat).
Les différents piliers de l’approche ont été implémentés de façon participative, incluant tous les acteurs (aux niveaux central, régional, communal et villageois). Avant et pendant la mise en œuvre du projet, soit pour renforcer l’efficacité des interventions.

Résultats (Réalisations) :
• Taux d’avancement global : 93,39% ;
• Taux de décaissement : 93, 65% ;
• Contribution à la réalisation des indicateurs PNDES en termes de séquestration de carbone à hauteur d’environ 1.760000 tCO2éq ;
• Réduction de la pauvreté au sein des communautés partenaires de 47% ;
• 4950 emplois créés dans la zone d’intervention ;
• Réalisation d’une quinzaine d’études de base.

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